Syndication, concurrence, le tout 1er horoscope anglais : la naissance des horoscopes de presse (4e partie / 7) !

Les trois premières parties de ce dossier sur la naissance des horoscopes de presse nous ont permis de décrire comment

Or, le principe de la syndication se développe dans les années 20 et 30. Il consiste à vendre, à des diffuseurs, le droit de reproduire un contenu particulier : image, chronique, etc. Les prédictions astrologiques produites en Angleterre vont ainsi se retrouver telles quelles dans les journaux de tout l’empire Britannique, et même jusqu’en Thaïlande !

C’est en 1936 que se fait la gestation du tout premier horoscope de presse que va publier Naylor. Il le fera dans une nouvelle et petite revue occulte avant de modifier très vite la rubrique qu’il tient dans l’hebdomadaire Sunday Express tiré, lui, à un million d’exemplaires.

L’astrologue Gabriel Dee au cinéma (1931), Naylor fera moins dans l’occultisme.

L’astrologue Gabriel Dee au cinéma (1931), Naylor fera moins dans l’occultisme

Richard Harold Naylor et Edward Lyndoe (en haut) ; William Tucker et Marie-Louise Sondaz (en bas), la première astrologue à publier un horoscope en France

Richard Harold Naylor et Edward Lyndoe (en haut) ; William Tucker et Marie-Louise Sondaz (en bas), la première astrologue à publier un horoscope en France

Cinquième partie :
Quand les astrologues critiquent les astrologues

A suivre : la guerre aura-t-elle lieu ? (6e) ; la valeur générale des prédictions et les circonstances du succès (7e).

Ce dossier n’est plus disponible en ligne dans son intégralité

Pour en savoir plus, trois possibilités

Le livre : Astrologie : la fin des mystères, éditions Mensa France, 2016, chapitre 2 (30 pages).
La conférence : L’apparition cocasse des horoscopes de presse
L’article paru dans la revue Le Québec Sceptique : L’origine des horoscopes de presse

Nous en avons parlé aussi à ce moment de l’émission en live de la Tronche en Biais.